Son œuvre et ce qu'il propose

Son œuvre et ce qu'il propose

Voir aussi: qui est-il ?

Rémy D. WIEDEMANN a émis plus de 130 propositions qui lui paraissent un premier changement nécessaire pour éviter à nos pays d'Europe de ne pas couler complètement. Mais ces propositions sont intrinsèquement incompatibles avec le régime actuel. La politique politicienne, les lois, les gouvernements ne peuvent plus rien depuis longtemps. Mais le jacobinisme réactionnaire français empêche l'évolution nécessaire vers plus de démocratie et de sacralité.


Rémy D. WIEDEMANN suggère de se former, de s'aguerrir. Il propose aussi de lire, de s'évader, de prendre ses distances avec le monde du constat et de l'accablement.


Ce monde sera tel que sont les hommes. Là où les hommes sont magnifiques, leur monde est magnifique. Là où les hommes sont médiocres, leur monde est médiocre.


En 2021, ayant créé son parti et plusieurs sites internet appelant au renversement de la République française, il reçoit l'aide de nombreux militants internautes. Les sites, l'Etat français les fait supprimer. Mais rien n'est arrêté et la police politique n'obtient strictement rien, même lorsque Rémy est interrogé et incarcéré. Il ne "lâche rien", selon l'expression populaire consacrée.


Rémy poursuit son patient travail, qui paye de jour en jour pour les Français, à commencer par les enfants qui bénéficient en juillet 2021 d'une nouvelle loi qu'il a inspirée. Il entretient une correspondance et fait progresser son mouvement, lequel influe sur le cours des choses, on le voit lors des échéances électorales.

En prison, suivant les nouvelles télévisées, RDW s'aperçoit, à sa grande surprise, qu'Emmanuel Macron fait adopter une, puis deux, puis trois, et jusqu'à... dix propositions ou loi qu'il a préconisées ! mais ce dernier précise que ses 81 propositions sont le strict minimum et qu'avec quelques améliorations, on ne sauvera pas le Titanic.

Il détaille la question dans ses écrits.


Car une réflexion nourrit son œuvre littéraire.

Il n'a jamais cessé d'écrire. Il a réellement commencé au Japon, à 18 ans, sa première œuvre était un roman: REINHARDT TARKAND, roman qui a été poursuivi durant des années, jusqu'aux grandes lignes des tomes 2 et 3 rédigées en 2004. Mais ce livre n'était pas achevé. En 1993, il a aussi écrit MORT D'UN JOURNALISTE, une pièce en alexandrins. Entre 2011 et 2021, il a composé un grand nombre d'articles, en particulier sur son site l-ecole-a-la-maison.com. A la suite d'une visite d'une équipe de France 5, il compose en un mois un guide intitulé JE FAIS L'ECOLE A LA MAISON qui propose des alternatives éducatives débordant largement le cadre fixé par le titre. C'est à partir de là qu'il développe son aide aux familles, qui vont conduire jusqu'à l'interdiction maquée de l'école à la maison par le gouvernement illégitime.


Mais c'est en prison qu'il va pouvoir se consacrer pleinement à cette vocation.

6 textes écrits en prison (en deux ans)

Celui qui s’est engagé dans la résistance croate, a fondé une ONG, a été président du Modem de Haute-Garonne et conseiller national, a fait une grève par le froid en 2008 en faveur des salariés de Molex, a créé un parti appelant au renversement du gouvernement républicain, a aussi écrit en prison, chaque jour : 6 livres en deux ans. Il a eu le temps notamment de finir l'ouvrage commencé à 18 ans au Japon:

Les autres titres sont :

Tomes 1, 2 et 3.

Présentation:

Roman que le premier lecteur d’Hemingway, M. de Y., rêvait de voir achevé avant de mourir.

Le tome 1, accepté par trois maisons d’édition françaises (parmi les 10 premières), est défendu par Raphaël Sorin et recommandé pour une première diffusion à 70.000 exemplaires par le réseau Hachette*. Les tomes 2 et 3 ont été achevés en prison en 2021-2022.

Un ou deux journalistes, n'ayant lu que le pitch qui ne parle que du début du livre, prétendent que ce livre est une transposition des rêves personnels de l'auteur sur le plan politique. Erreur: il l'a écrit avant l'âge de vingt ans.

Son écriture est appréciée de Jean d’Ormesson, Michel Tauriac, Marcel Julian, Jean Raspail, François Fontaine et des centaines de milliers d’internautes.

1800 pages.

CAVALE A PLEIN TEMPS

Présentation : polar humoristique.

Vers 1950 peut-être, ou de nos jours (les références sont hétéroclites), un ancien flic est devenu malfrat par scrupule moral. Il est embarqué dans un braquage où se joue... le sort de l’Occident et du Bloc de l’Est. 332 pages (format 13x19cm, police 10,5).

«Très fort ! Bravo pour le style, cela va plaire !» (Xavier M., écrivain publié). «Rire fait du bien !» (Guillaume B.)



Présentation:

Recueil de pensées du prisonnier sur tous les sujets de l’actualité et bien davantage, des réponses aux politiques et aux experts de plateaux télévisés, propos philosophiques ou critiques, contemplation, humour. L’auteur montre notamment comment la République française est devenue un Etat hors du droit, dirigé par une cour politico-médiatique ségrégationniste et en contravention avec beaucoup trop de dispositions internationales et de lois constitutionnelles pour être encore appelé Etat de droit.

E. Macron a fait entretemps adopter 9 des 81 mesures préconisées par l’auteur, et notamment au regard de l’enfance placée ou l'impôt. Mais cela ne suffit pas, et le déclassement de la "France" s’aggrave d’année en année, les condamnations internationales se multiplient (RDW dit que l’Etat est "multirécidiviste" de délits en tous genres). 446 pensées dont "Qu’est-ce qu’un journaliste", "Justice calamiteuse, surpopulation carcérale, OQTF : mes solutions", "Perles de journalistes et politiques", "Pourquoi l’Américain vous ennuie", "Valeurs républicaines" : un fondamentalisme français" etc. 404 687 mots. Extrait :

SAVOIR LIRE

On lit mal Montesquieu, mais on lit mal à peu près tout. On ne voit pas bien où cet auteur fut médiocre, et où il fut juste. Je dis cela car personne dans le personnel politique n’a relevé qu’il fallait selon lui laisser agir le peuple autant qu’il est nécessaire, par exemple. Chose qu’il dit peu parce que c’est évident. On l’a beaucoup interrogé là où il s’étendait, et l’on sait qu’un auteur s’étend là où il est le plus hésitant, en recherche. C’est donc là où il était bref qu’il fallait voir de grandes évidences, des évidences qui seraient d’immenses choses pour nos temps. Et il en va de même dans toute lecture : on fixe son attention sur ce qu’on cherche, alors que l’essentiel est souvent dans ce qui est peu dit, peu étalé, comme s’agissant d’une évidence de premier plan. Vous entrez dans un livre comme dans une maison où votre hôte vous dit : « J’ai une belle collection de disques, j’ai ici un tableau que j’ai acheté au marché aux puces » mais il ne dit pas l’essentiel : il aime sa femme et ses enfants. Cette évidence, il n'a pas besoin de la dire: c'est sa vie, c'est au centre de tout. Ce qui le captive, c'est ce qui est en périphérie. Voilà ce qui arrive sans cesse aux auteurs, et que ne voient pas toujours les lecteurs.

L'INEVITABLE RESSURRECTION DES PEUPLES

ou l’Avenir à l'Assaut de l'Ignorance

Puisque l’effondrement est inéluctable et annoncé par une multitude de signaux d’alerte, que cet effondrement est mécanique et inarrêtable, l’auteur y voit un salut et fait une proposition de refondation complète du régime en s’appuyant sur la parabole de Yellowstone (parc naturel américain rendu à la nature). Sa proposition est une révolution copernicienne. On assistera à la sortie de l’ère de la médiocrité et du subjectivisme, la fin des mauvais paradigmes du XIXème siècle, l’abolition de ministères et des impôts afférents, le recul de l’Etat omnivore, la restauration des fonctions régaliennes, l’établissement d’un régime réunissant les quatre régimes décrits par la Grèce antique, la restauration des libertés en adaptant ce qui fonctionne ailleurs, la simplification, l’efficacité, l’esprit et la créativité.

Un texte fondateur pour l’avenir des Etats et des nations. 156 658 mots.

Extrait (de l’introduction) :

La question du bonheur et la situation actuelle du monde, posées en vis-à-vis, offrent un tel contraste, un tel gouffre, une telle désillusion, après des siècles de progrès désespérés, de luttes, de désastres et de reculs, que la situation présente de l’Occident trouble la conscience objective la plus détachée et la plus froide. L’esprit un peu aiguisé ne peut que se demander : « Ne nous sommes-nous pas trompés, mais si profondément que nos références seraient fausses. Nos panthéons ne seraient-ils pas peuplés de gens que la conscience torture dans leur cercueil ? » Les plus lents à se hérisser contre les dérives des temps ont toujours pu relativiser les plus cruels épisodes en disant : « Cela passera », « on en a vu d’autres » ou « il y a pis ailleurs ». Mais la déchirure actuelle n’a pas d’équivalent. Il n’y aura pas non plus de retour sur une base saine, puisqu’on n’en a plus la trace. Nous avons brûlé nos vaisseaux et mangé notre pain blanc. Je ne veux pas brosser un tableau exagérément catastrophé, mais il s’agit de considérer les grands ensembles, tandis que, dans le détail, des domaines d’activité humaine peuvent encore briller.

Oubliez les images d’Epinal au sujet de la prison !

Certes, il y a des inconvénients à la prison. Mais en vous y prenant bien, vous trouverez un asile plus chaleureux que Pôle-emploi, plus propre que les rues de Paris, plus souple que l’hôpital, plus tolérant que la Mairie de Paris, un asile où tout est gratuit et largement préférable à bien des situations, dehors.

Intéressez-vous y car vous serez peut-être concerné avant longtemps.

Je vais ici démonter les images que vous avez tous en tête et que j’avais aussi avant d’y être. J’en confirmerai certaines mais non sans vous nantir d’informations qui vous permettront d’éviter le cauchemar.

Endetté ? vos dettes seraient alors effacées ! Au bord du suicide ? Vous pourriez être vainqueur d’un défi personnel, d’une expérience que de grands personnages ont faite et retrouver une envie de vous battre en recommençant à neuf. Persécuté ? On ne pourra plus rien contre vous. Sans domicile fixe ? Vous aurez un logis. Envie d’écrire, de couper avec les réseaux sociaux, les courriels, les messageries ? Besoin de vous recentrer sur vous-même, de méditer durant un temps sur la vraie vie que vous portez en vous ? de vivre une introspection spirituelle ? Envie de faire un stage qui explore vos capacités de résistance personnelle ? Alcoolique, cherchant à vous sevrer ? Envie de tester votre couple, vos amis ? Accroc aux écrans ? Envie de vivre une aventure célèbre, vieille comme l’Humanité captive, de revivre ce qu’ont vécu tant de célébrités dont je vous ferai une petite liste étonnante ? Et ce, protégé par un système où les professionnels sont compétents et généralement humains ? Vous allez voir que la prison est une étape qui peut vous intéresser.

Extrait:

Avantages moraux, intellectuels et spirituels

Pensez à tous ceux qui vous ont précédé : ils sont innombrables. Vercingétorix, Richard Cœur-de-Lion, Jeanne d’Arc, François Villon, François Premier roi de France, Marie Stuart, Jean Bart, Cervantès, le dernier roi maya, Fouquet, Louis XVI, Marie-Antoinette, Louis XVII, Vidocq, nombre de Chouans, Jules Vallès, Georges Cassidy et le Kid, Steve Mac Queen, James Brown, Nelson Mandela, Aung Sang Suki ! Et même Jésus-Christ, saint Jean-Baptiste, des millions de persécutés ! (...) Soljenitsyne, Chalamov, des centaines d’écrivains.

(...)

Autant le monde, à l’extérieur, spécialement l’ambiance française, peuvent être désespérants voire sordides, autant la prison peut être un univers protégé où la liberté est presque illimitée. C’est l’effet “monastère”. On a bien plutôt l’impression de mener de grandes luttes contre le monde, au cœur du combat métaphysique, depuis l’intérieur, tandis que le monde à l’extérieur est exposé aux vents superficiels. Ainsi, sous ce jour, les murs des prisons et des monastères protègent l’extérieur frivole, et non l’intérieur, où sévissent les vraies tempêtes. L’extérieur semble protégé par nos murs de prison. (...)

Si vous voulez savoir ce que vous portez en vous-même, votre valeur intérieure, allez en prison.

La loi du paradoxe fait que la prison réelle est l’antithèse de la prison intellectuelle. Celle-ci enferme, celle-là libère. C’est très étonnant.

En prison, chaque jour qui passe vous donne davantage, si, naturellement, vous vous évadez de vos limites intérieures, de vos propres habitudes, de vos facilités. Vous explorez votre vous-même.

Vous prenez le temps de sortir de votre cabanon, d’aller voir au-delà du jardinet que vous délaissez et qui était votre refuge depuis votre naissance, vous vous risquez dans les bois, les plaines, les vallées, les monts lointains de votre âme. Vous y découvrez des splendeurs inattendues, des joies inextinguibles – cette sorte d’invincibilité que vous aviez constatée chez les prisonniers –, des dangers aussi, des gouffres dangereux, des combats au-devant de ponts, des places-fortes à conquérir, vous y menez des combats, des palais vous échoient et des parcs sont offerts.

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