REMY D. WIEDEMANN

6 ouvrages écrits en deux ans de prison !


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Lequel de ceux deux livres voudriez-vous lire en premier ?

Reinhardt Tarkand

Pensées Accouchées de la Prison d'Occident

Quel serait celui qui vous intéresserait le plus ?

cela ne vous engage en rien

Nous cherchons juste à déterminer quel livre lancer avant l'autre

Reinhardt Tarkand

Derrière cette épopée, une parabole.

Aventure, paysages, grandeur des perspectives, amour et guerre, Occident contre Orient.

Le tome 1 a été réécrit et les tomes 2 et 3 ont été achevés en prison en 2021-2022.

Russie, Mongolie, Tibet, Chine, Mandchourie.

730.000 mots (format A4, A800 pages).

Texte garanti sans Intelligence artificielle


PENSÉES ACCOUCHÉES DE LA PRISON D’OCCIDENT

Plus de 450 pensées sur tous sujets ! "Dans ce livre-ci, la variété est très importante et aborde tout ce qui, en ce monde et dans ce qui nous constitue, me paraît devoir être exploré, loin des bavardages ou du constat, afin de comprendre à la fois le caractère intrinsèque des choses, les solutions intellectuelles, philosophiques et métaphysiques, spirituelles", dit l'auteur.

La richesse de ce texte pourrait fournir des centaines d'heures d'émissions, de la matière pour ceux qui sont en recherche de contenus, et une pensée à une époque qui en manque.

420.000 mots (786pages).

Texte garanti sans Intelligence artificielle




Informations sur REINHARDT TARKAND et table des matières

4ème de couverture

En juin 1938, un officier soviétique, jeune capitaine de cavalerie, fuit à travers le Gobi. Le 18 de ce mois, cet officier va à la rencontre d'un nomade, qui débarque d'un train à la gare d'Irkoutsk. Quelques heures plus tard, l’arsenal de la caserne explose et un incendie se propage à la ville. Le coupable présumé se nomme Reinhardt Tarkand, c’est un déserteur. Condamné à mort par contumace, il devient brutalement l'espoir d'un peuple, un prince en exil…


Toute ressemblance avec des ambitions de l'auteur ne relève que de l'imagination limitée de journalistes...

Recommandations

Reinhardt Tarkand, le livre que Maurice de Y., le premier lecteur d'Ernest Hemingway, souhaitait voir achevé avant sa mort.

« La grande fresque brillante qu'on attendait depuis Tolstoï, en kodacolor » (Catherine V.).


« C’est comme si la littérature et le cinéma convergeaient vers un point. Vous avez lu Zola, Verne, Hugo, Conrad, Kessel, vous avez aimé Mankiewicz, Coppola, Kurozawa, Lumet ? ça conduit à ça. C’est un chef d’œuvre, c’est une conjonction. » (Alain Matisse)


« Je suis en cours de lecture du troisième tome de REINHARDT TARKAND, c'est littéralement renversant ! » (Cédric)


« Je l'ai reçu il y a quelques jours, je l'ai commencé et je voulais vous faire un premier retour d'impressions. D'abord, je dois dois préciser que je ne vais pas facilement vers les romans, car de base, j'ai assez à faire avec mon fil à tenir dans ma vie pour ne pas me distraire avec les inventions des mondes intérieurs des autres... j'y perds l'équilibre en fait, mais j'ai eu quand même envie de tenter l'expérience avec Reinhardt Tarkand après avoir lu l'histoire de votre livre - et vous faites si bien de la partager...

Je suis entrée dedans très vite, à ma surprise, et j'adore vos suggestions musicales, elles donnent soudainement du volume aux scènes, j'ai l'impression d'entrer dans Dersou Ouzala de Kurosawa.

J'aime que votre livre soit historique, qu'il soit rédigé en bon français est aussi un baume de lecture, et après avoir lu quelques pages seulement, on y a appris quelque chose, on en sait un peu plus sur un peuple, sur une région, un pays, sur une période... j'ai hâte de retourner à la lecture (je n'en ai que peu le loisir, mais du coup, je l'apprécie d'autant plus). Voilà, je vous raconterai la suite de mes impressions de temps à autre. » (Cécile C.)


Au sujet d’une œuvre précédente de l’auteur, ils ont dit :


« C'est un tour de force ! » (Jean d'Ormesson).


« Performance peu courante de nos jours » (Jean Raspail).


« Tout le souffle essoufflant de nos romantiques, une étrange musique de l'expression et de la véhémence dans la pensée » (François Fontaine).


« Continuez, contre vents et marées » (Marcel Jullian).


« Un travail dont l'élévation de pensée vous honore » (Michel Tauriac).


Reinhardt Tarkand a reçu le Grand Prix de la Renaissance Aquitaine.


"Je n’en suis qu’au tiers du premier tome et je suis impressionnée de la grande pertinence des propos qui font écho à notre situation !" (une lectrice).


"Tout jeune homme devrait se plonger dans ce monument ! De même que tout français devrait se plonger dans les Pensées accouchées de la Prison d'Occident ! Monumental !" (A. B.-G.)


« Je l'ai reçu il y a quelques jours, je l'ai commencé et je voulais vous faire un premier retour d'impressions. D'abord, je dois dois préciser que je ne vais pas facilement vers les romans, car de base, j'ai assez à faire avec mon fil à tenir dans ma vie pour ne pas me distraire avec les inventions des mondes intérieurs des autres... j'y perds l'équilibre en fait, mais j'ai eu quand même envie de tenter l'expérience avec Reinhardt Tarkand après avoir lu l'histoire de votre livre - et vous faites si bien de la partager...

Je suis entrée dedans très vite, à ma surprise, et j'adore vos suggestions musicales, elles donnent soudainement du volume aux scènes, j'ai l'impression d'entrer dans Dersou Ouzala de Kurosawa.

J'aime que votre livre soit historique, qu'il soit rédigé en bon français est aussi un baume de lecture, et après avoir lu quelques pages seulement, on y a appris quelque chose, on en sait un peu plus sur un peuple, sur une région, un pays, sur une période... j'ai hâte de retourner à la lecture (je n'en ai que peu le loisir, mais du coup, je l'apprécie d'autant plus). Voilà, je vous raconterai la suite de mes impressions de temps à autre » (Cécile C.).


"A mon grand soulagement, le texte est agréable à lire. J’avais quelques appréhensions qui se sont dissipées assez rapidement. L’histoire est intéressante, très instructive. J’aime comme vous variez les passages d’action, de dialogue, de réflexions politique, historique, stratégique, philosophique. Vous décrivez avec précision les situations, les décors et les ambiances sans longueurs superflues. La richesse de votre vocabulaire continue de m’ impressionner. J’aime que les scènes de batailles ne s’éternisent pas. Votre délicatesse à nous épargner trop d’imprégnation me convient parfaitement. Je me demande souvent où se trouve la frontière du roman et de la réalité historique dans votre récit, mais c’est pour moi le format idéal pour aborder une page géopolitique si dense sans qu’elle soit rébarbative. J’aime le temps que vous prenez à “méditer” avec nous, lecteurs. Souvent, l’une de vos phrases nous incite à l’introspection, comme ce fut le cas avec vos “Pensées Accouchées de la Prison d’Occident”. L’une d’elles qui m’a déconcentrée un bon moment et que j’ai noté, c’est : “-- C’est idiot. Que connais-tu de beau qui ne soit pas une cérémonie ? “ J’étais amusée quand Reinhardt a recruté, constitué ses équipes et pris ses décisions loufoques, déstabilisantes autant qu’efficaces. J’avais l’impression de reconnaître le Rémy Daillet de 2021, du moins, l’idée que je m’en faisais. J’aime que vous valorisiez l’intuition et l’invisible. J’aime que vous dérogiez aux règles de la guerre pour épargner des vies. Je suis surprise d’avoir déjà fini le premier tome, c’est plutôt bon signe et encourageant pour découvrir avec le tome 2 la suite des aventures de Reinhardt. Merci à vous Rémy. De moi-même je ne l’aurais pas lu. Je serais passée à côté de cette opportunité de connaître un pan énorme de la construction de notre monde présent" (Isabelle G.).


Notes de lecture d'une lectrice:

"p.496d - Les âmes bien nées : “L’idéaliste s’éloigne du relativiste qui ne voit pas le principe”.
Les âmes bien nées se tournent vers la lumière, vers des principes supérieurs qu’elles avaient décidé de servir résolument.
L’âme relativiste au contraire, niant qu’il y ait des principes supérieurs, s’affaisse inexorablement dans la médiocrité.

p.547g (parlant du Moine) “Il tenait à conforter Reinhardt dans sa nouvelle stature et le débarrasser de sentiments personnels improductifs à son égard.”
p.551d “C’est soit ton destin, soit les autres. Car il voyait bien qu’aimer ses amis neutralisait l’action et amenait un consensus paralysant. Il ne voulait pas céder à cette philosophie de l’immobilisme. Lever le petit doigt nuisait toujours à quelqu’un, tout se tenait, la moindre colère blessait. Que faire, que faire ?”

p.554g (chapitre Conquérant dans la paix)
On reconnait bien là les mesures souhaitées par l’auteur pour notre présent !
p.564g “L’immédiateté de l’homme est en lui-même, l’éternité de l’homme est en l’autre.”

p.646 “Vieillir au cœur d’une paix qui allait nous renvoyer à une existence existentiellement accomplie (tous, sauf nos morts qui auraient, en temps de paix, la supériorité dédaigneuse de l’absence. Les morts sont figés dans la gloire).”
p.647d Félicien qui parle (ça pourrait aussi être moi) :

“Sans me l’avouer, sans m’en rendre compte moi-même, je guettais la nouvelle formidable qui changerait tout, la lueur d’espoir qui, surgie quelque part dans le monde, brillerait d’une lumière si forte qu’elle ferait tomber les armes des mains, qu’elle ferait dire aux hommes : “ Comment en sommes-nous arrivés là ? Quand nous sommes-nous écartés du bon chemin ? Où sont les livres de vérité . Ma soif ne pouvait s’étancher.”

p.648d/649g J’aime bien le discours de Reinhardt, la proposition de gouvernance, au-delà des “manipulations d’opinion”, au-delà des “fièvres passagères”... : une polyarchie.
J’avais lu un livre conseillé par Frédéric Taddéi alors que je m’intéressais aux utopies pour imaginer un avenir enviable, il s’agissait ici de “Voyage en misarchie” Essai pour tout reconstruire de Emmanuel Dockès, un livre aussi choquant que stupide, dévalorisant et absolument amorale, surprise qu’il en soit fait l’éloge par un homme que je croyais cultivé.

- Je me demande souvent lesquels de ces paysages vous avez parcouru pour les décrire ainsi, avec tant de détails et de précisions.
- C’est assez énigmatique cette capacité de l’homme à massacrer son semblable sans même savoir pourquoi. Cette dernière, je ne me souviens pas si elle est extraite du livre ou de moi.

En copiant tous ces passages, je vois un nombre considérable de citations qui pourront être extraites de votre œuvre pour voguer et imprégner les esprits comme de rares auteurs de notre époque pourront le faire, pour nourrir nos âmes."


Table des Matières: 74 chapitres

TOME 1 : A l’aube des Victoires

Chapitre 1 : Chute sur le monde, p.1

Chapitre 2 : Remontée vers le ciel, p.31

Chapitre 3 : Au-delà de l’horizon rond, p.36

Chapitre 4 : Petit d’homme, p.43

Chapitre 5 : Le royaume de l’âme, p.56

Chapitre 6 : En deçà du bien et du mal, p.66

Chapitre 7 : Calme et violence de la gestation, p.80

Chapitre 8 : L’enquête plus douloureuse que le crime, p.97

Chapitre 9 : La journée du 18 juin 1937, p.138

Chapitre 10 : Fécond cœur des enfers, p.172

Chapitre 11 : L’âge d’or est un âge de crise, p.195

Chapitre 12 : L’homme dont les yeux sont dans l’ombre, p.203

Chapitre 13 : La dispute. A nouveau sur la route, p.222

Chapitre 14 : Ne devient pas homme de valeur qui ne veut pas, p.244

Chapitre 15 : Dieux, femmes et bêtes, p.264

Chapitre 16 : Amours voulues, haines artificielles, p.290

Chapitre 17 : S’il a de la chance, p.349

Chapitre 18 : Le lama Banbar Kounang. Lhassa divisée, p.367

Chapitre 19 : A l’aube de la première victoire, p.377

Chapitre 20 : Deux ronds rouges sur Lhassa, p.386

Chapitre 21 : Retombée sur le monde, p.425

Chapitre 22 : Le salon de théen face de l’auberge, p.437

Chapitre 23 : Reliefs, tribus, marche forcée, p.467

Chapitre 24 : Etalage de grâces. Les mercenaires, p.473

Chapitre 25 : A nouveau seule, p.483

Chapitre 26 : L’orphelinat des espérances, p.515

Chapitre 27 : Le bouddha recruteur, p.535

Chapitre 28 : Les marais de Bixi, p.553

Chapitre 29 : Le corridor du Gansu, p.572

Chapitre 30 : De qui ne se moquait-il pas ?, p.579

Chapitre 31 : Ce désir d’action, d’éclat et de victoires qui étreint le monde, p.600

Chapitre 32 : Sanglante notoriété, p.615

Chapitre 33 : Une mort de trop avant qu’il n’y en ait plus assez, p.624


TOME 2 : Bruits du Monde, jusque dans le Temple

Chapitre 34 : L’erreur, p.662

Chapitre 35 : Note de vielle dans un restaurant, p.705

Chapitre 36 : Ce àquoi rêvent les jeunes femmes, p.722

Chapitre 37 : Règne animal et règne végétal, p.734

Chapitre 38 : «Les bons plats ne sont servis qu’une fois, sers-toi au bon moment ! », p.758

Chapitre 39 : La Société du Nuage, p.812

Chapitre 40 : Des mondes éloignés, p.823

Chapitre 41 : «Si tu es pressé, fais un détour. », p.833

Chapitre 42 : Mécanique d’une grande offensive et grain de sable, p.855

Chapitre 43 : L’invitéet la surprise, p.878

Chapitre 44 : Yoshida Ueno, un cerveau. Putsch àTôkyô., p.885

Chapitre 45 : «Du feu, le singe tire le marron avec la patte du chat. », p.921

Chapitre 46 : La vie des camps, p.965

Chapitre 47 : Dans les caves et dans la ville, p.991

Chapitre 48 : Menaces et mains tendues, p.1023

Chapitre 49 : Styr Goryn. Nuit où commença l’enfance de Reinhardt, p.1039

Chapitre 50 : Réunion des Anciens d’Irkoutsk. Cérémonie de mariage suspendue, p.1076

Chapitre 51 : Le sacre. Prédictions d’une vérité invraisemblable, p.1096

Chapitre 52 : Premières conséquences du sacre et préparatifs de la grande expédition, p.1106

Chapitre 53 : Le Voyage vers l’Ouest, p.1112

Chapitre 54 : Nouvelle Intrusion en URSS, p.1144

Chapitre 55 : Fuite des femmes dans la montagne, p.1173

Chapitre 56 : La révélation, p.1220

Chapitre 57 : Deux fois reine, p.1239

Chapitre 58 : Deuil de guerre, p.1303

Chapitre 59 : Les deux murailles, p.1321

Chapitre 60 : Les trains du Baïkal. Amours malentendues., p.1328

Chapitre 61 : «Une méthode fixe n’est pas une méthode. », p.1357

Chapitre 62 : Chan-li Leung, chef de triade. Une enfance chinoise, p.1374

Chapitre 63 : Conquérant dans la paix, p.1400

Chapitre 64 : La nuit des frontières, p.1441


TOME 3 : Derniers Actes des Hommes

Chapitre 65 : Hentiy Long, au service d’un Seigneur de la Guerre, p.1497

Chapitre 66 : Le siècle des hommes sans dieu, p.1531

Chapitre 67 : Un homme perd la vue, p.1551

Chapitre 68 : «Les bonnes doctrines peuvent se passer de miracles. », p.1564

Chapitre 69 : Passes d’Uher et combats sur les crêtes, p.1610

Chapitre 70 : Les Hommes sont tous frères et s’appartiennent entre eux, p.1669

Chapitre 71 : La perfection est de ce monde, p.1710

Chapitre 72 : Tout le long de l’horizon rond, p.1762

Chapitre 73 : Derrière l’eau, p.1791

Titre de la boîte de contenu

Télécharger l'histoire du livre

Léonie a souhaité que Rémy écrive l'aventure de l'écriture du roman REINHARDT TARKAND.

La voici, en 6 pages.


Table des matières et informations sur Pensées Accouchées de la Prison d'Occident

Recommandations

Un éditeur:

"Votre livre, Pensées Accouchées de la prison d'Occident, est une somme considérable, un apport que j'aimerais pouvoir éditer. Je suis très admiratif de votre manière de retourner ce qui est considéré comme des évidences dans notre société. Il y a là de multiples révolutions coperniciennes que même la plupart des dissidents et opposants n'ont pas imaginées. C'est votre mérite. Toute la question, c'est d'affronter ensuite les attaques que votre ouvrage ne manquera pas de me valoir. Je ne suis pas sûr d'avoir les moyens de faire face."


Un lecteur:

Le texte est très intéressant. Je partage beaucoup de vos points de vue qui me semblent tellement logiques. Je ris parfois, vous avez le sens de la formule. J'apprends énormément aussi, en Histoire, en chiffres... Tous les sujets jusque-là (j'en suis à 240 pages), même celui de la religion, alimentent ma réflexion. J'aime les sujets sur l'intuition, la vérité, le courage, la liberté, la justice, la confiance, l'enfermement, tout ce qui découle de tout cela. Alors, je reste curieuse de lire la suite.

Je prends du plaisir à vous lire dégommer les journalistes, les politiciens et les institutions (les dégâts causés par l’école, entre autres). Vous abordez tous les sujets qui ont entretenu la colère en moi pendant des décennies. J’en suis à lire vos solutions; qu’elles aient été pensées et inscrites, les fait déjà exister. J’aime entrevoir l’avenir ainsi.


Sur un groupe Telegram: Chris N.

"je pensais déguster ce livre à petites doses mais c'est plus que ça...ce n'est pas une semaine ni un mois qu'il va me falloir mais certainement des années tant sa concentration demande à être diluée ! Je m'explique : en lisant une page, la pensée de l'auteur en provoque d'autres chez moi ( et en provoquera très certainement chez tous ceux qui le liront) et je dois plusieurs fois revenir sur la page pour la relire et comprendre ce qui est écrit mais une nouvelle fois, je suis transportée vers d'autres cieux, d'autres rivages, d'autres aspects de ce qui aurait pu être etc...je me met à la place de Rémy qui doit se demander comment va être interprété la lecture de ses écrits et il imagine surement le développement que cela va prendre chez les uns et les autres...c'est un enrichissement qui perdure au fil des pages, qui enrichit notre horizon et c'est peu dire car je ne sais comment exprimer tout ce que cela va m'apporter et vous apporter, c'est un livre tridimensionnel comme je n'ai jamais eu l'occasion de lire dans ma vie ! En fait son livre va me permettre d'économiser sur l'achat d'autres livres...plus besoin d'une grande bibliothèque tant celui-ci prend de la place !!!"


Une lectrice:

"J'ai acheté votre livre il y a un mois environ et je le dévore chaque soir !

J'en suis à peu près à la moitié.

Passionnant, grinçant, un florilège de bon sens et d'acuité !

Je n'en reviens pas du travail fourni, je pense que votre poignet s'est armé d'une coque protectrice et décuplante pour pouvoir écrire tout cela !

Quelle liberté, c'est ravivant et motivant !

J'aurai sûrement un compte rendu plus fourni à la fin de ma lecture !!!"


Un lecteur, G. B.:

"Il me reste encore plus d'une soixantaine de Pensées à lire, mais C'est le meilleur livre que j'ai lu! "(plus jeune c'était un de Jack London, mais là..)"


Un lecteur:

"Le livre est titanesque, "Pensées", je n'ai que des mots trop faible cela ouvre tellement de possibles, de pistes de travail..et qu'est ce que j'ai ris ! (Merci !) On vous sent fort! Merci et ne peux que vous souhaitez plein de beaux et grands accomplissements!"


Une lectrice, Louise G.:

"J’ai bien téléchargé le fichier il y’a plusieurs semaines déjà et je le lis avec la plus grande attention chaque soir avant de m’endormir (j’en suis à 11% d’après ma liseuse!) C’est un vrai régal de vous lire, je reconnais bien votre plume que j’appréciais dans vos articles sur l’école à la maison. Je vous trouve très sage et très solaire à la fois dans ces pensées que vous nous livrez. Merci beaucoup de vous être inquiété de ma commande."


Une lectrice:

"je viens de lire la pensée : Je ne peux pas parler. Elle est terrible celle-là ! Elle est courte et pourtant en dit aussi long que d’autres qui s’étalent sur plusieurs pages (comme celle qui précède où vous distillez à merveille les meilleurs conseils pour ne pas vivre, ou mieux comprendre, nos amours déçus).

Ces deux-là qui se suivent sont aussi bouleversantes que si vous les aviez écrites exprès pour moi.

Votre avis d’homme est inestimable et bienvenu.

J’espère que beaucoup de vos lecteurs et de vos lectrices sauront s’en inspirer.

Des perles comme celle-ci, j’en ai lu beaucoup parmi vos pensées."


De A. G. :

Plus j'avance dans ma lecture de vos pensées de prison, plus j'ai en tête cette citation d'Élisabeth Gougde, tirée de "La Sorcière Blanche", page 88 :

" Vous m'avez fait un grand cadeau, car le don d'un livre, c'est le don d'une âme. Les hommes mettent leur âme dans leurs livres. Quand un homme donne un livre à un autre, alors trois âmes sont liées ensemble, et forment cet extraordinaire mystère : une trinité. Quelle bénédiction, un don : c'était le nom ancien du Saint-Esprit. Le Don."

Alors MERCI !

Je compte profiter de la réduction de 10% pour l'offrir à mon père et m'offrir Reinhardt !


Isabelle F. :

"Je n’aurais jamais pu le lire aussi vite si je l’avais lu seulement pour moi, sans nos interactions. Alors merci pour cet élan. C’est à la fois agréable et parfois compliqué de vous lire. Chaque jour j’ai noté de nombreux mots dont j’ignorais l’existence et le sens, j’étais souvent surprise, impressionnée par la précision de leur définition ; comme nos pensées seraient plus précises si nous savions les utiliser au quotidien. Alors, merci de ne pas vous en être privé. J’ai appris énormément sur l’esprit français, les raisons qui ont fait notre grandeur à l’étranger, nos spécificités, l’importance du catholicisme partout dans le monde, la résistance de ces croyants, les responsabilités de notre décadence entre révolutionnaires, communistes, socialistes; des sujets comme celui de la corrida par exemple où votre analyse, l’évaluation des causes et des conséquences, manque tellement à n’être jamais abordé de la sorte. J’aurais pu prendre l’exemple de l’avortement, qui revient sous différents angles selon les pensées dans lesquelles vous abordez le sujet, où vos arguments sont pertinents et peu répendus. J’ai tout aimé. (...) Votre analyse des séries télé m’a ramenée quelques années en arrière quand je les suivais en voyant les grosses ficelles, les tendances qui nous étaient imposées au fil des nouvelles saisons. J’ai beaucoup aimé votre analyse de la prison et de la justice et les solutions qui pourraient être si rapides et efficaces à mettre en place si tout le monde le voulait bien. Je ne vais pas tout détailler mais les sujets sur l’intuition, la créativité, la sociabilité et la solitude, l’éducation et l’instruction et tant d’autres sujets dont on ne discute jamais avec personne ne peuvent pas laisser indifférent. J’ai souvent ri aussi, votre humour est très élégant, chacun en prend pour son grade et même quand les sujets sont sérieux, il y a toujours un moment où la positivité, l'espérance amènent de la légèreté. Il m’est arrivé d’imaginer le gardien qui vous trouvait avec le sourire alors qu’il vous apportait votre repas lire votre livre en comprenant ce qui vous mettait ce sourire aux lèvres. Merci de nous avoir partagé toutes ces pensées. Je leur souhaite de se répandre."


Un journaliste indépendant :

"Rémy D. WIEDEMANN est le cousin d'Edwy Plénel, dont il ne partage pourtant pas les idées. Il est néanmoins de cette race de penseurs. Si Plénel a pu être acide et détonant il y a trente ans, aujourd'ui il passe pour conservateur face à un Daillet qui, en disant le contraire, est le plus révolutionnaire des deux, décapant, impitoyable. C'est le Daillet des Pensées accouchées dela Prison d'Occident qui nous intéresse, parce qu'il a une cohérence et en même temps une sensibilité qu'il revendique comme chrétienne, humaine."

4ème de couverture

Emprisonné avec toute sa famille à la demande du gouvernement Macron, Rémy D. WIEDEMANN

a écrit 6 livres en prison.

Ses Pensées Accouchées de la Prison d'Occident livrent plus de 450 pensées sur tous sujets.

La richesse de ce texte pourrait fournir des milliers d'heures d'émissions, de la matière pour ceux

qui sont en recherche de contenus, et une pensée à une époque qui en manque.


Extraits

CE N'ETAIT PAS BIEN GRAVE

Dans un petit film d’avant-guerre : « Thomas avait menti sans y penser, par goût de l’aventure, il était devenu un imposteur, plutôt malgré lui. Ce n’était pas bien grave. »

« Ce n’était pas bien grave. »

Voilà une expression que vous n’entendez plus. Aujourd’hui, tout est grave, tout demande l’intervention des services sociaux, du psychologue, des gendarmes, d’une cellule psychologique. Tout doit être grave, il s’agit de rentabiliser tous ces services. Des psychologues, il y en a tant, plus que des ferronniers, que des cavistes, ou des épiciers dans les villes. Où sont nos tailleurs, nos menuisiers, nos marchands de pianos, où sont nos commerces ? Disparus, envolés. A la place, des officines sans nombre de la domestication. La gravité, clé moderne ; la dramatisation, outil fantastique de la théâtralisation d’Etat, de la mise en scène, voire du contrôle. Moyens d’aller investiguer partout, de ficher, suivre, écouter, tracer. Dans quel abîme se précipite notre société, qui détruit ainsi les derniers reliquats de pacte social ? Dans l’abîme soviétique. Kafka fut le grand devin de ce temps (...).


JAMAIS

Les conquérants ne se battent pas deux fois sur le même champ de bataille. Mais les saints ne quittent jamais le bon chemin. Alors, comment conciliez-vous les deux ? Je vous laisse réfléchir deux minutes. Ne jamais se battre deux fois sur le même champ de bataille, mais ne jamais quitter le même bon chemin. Vous avez trouvé ?

Quand on affronte le Mal, jamais on ne se bat sur le même champ de bataille. Quand on affronte le Bien, jamais on n’en change.

Table des Matières: 454 chapitres

Table des matières

1. Prison, p. 1

2. Marchand chinois, p. 15

3. « Ce n’est qu’une minorité » p. 16

4. Antiracisme, p. 17

5. Degré : tout en dépend, vous aussi, p. 17

6. Lois sociétales, p. 18

7. Le Sot, la Lune, le Sage et le Saint, p. 18

8. « Si tout le monde faisait comme vous… ! » p. 18

9. Comment pourrait-il s’intégrer ! p. 19

10. Livre, p. 21

11. Yvan Colonna, p. 21

12. Préfixe Tr : très, trinité. Découverte étonnante, p. 21

13. Le Mal manque de moyens, p. 25

14. Une désespérance de moins, p. 25

15. Noblesse, p. 27

16. Le mal français n°1. Qu’est-ce que la liberté ? cette matrice qui génère la quasi-totalité de nos problèmes et notre naufrage, p. 27

17. Le Monde, année 2029, p. 45

18. Pluriels étrangers. Mots mal choisis, p. 47

19. Juges élus, p. 48

20. Pourquoi nous ne sommes plus dans un Etat de Droit, p. 49

21. « Nul n’est au-dessus des lois » p. 52

22. Paternalisme ! p. 53

23. Entrée du Rassemblement National au parlement, p. 54

24. Inhibition. Le legs du Gaulois, p. 55

25. Nos opinions ! p. 67

26. Savoir lire, p. 68

27. Energie électrique pas stockable ! p. 68

28. Nombreuses sont les dames qui me parlent d’harmonie, de renoncement à la vie publique et de ce qu’il faut s’abandonner en Dieu, p. 69

29. Paradoxe : moins de beauté crée davantage de besoin, p. 74

30. Eau en Arabie Séoudite, p. 74

31. Victoire de la Marne, p. 76

32. De la démocratie qui n’existe pas. Votre député ne peut pas vous entendre, p. 76

33. Grand métier, petit métier, p. 80

34. Transport en diligence, 1878, p. 81

35. La vérité, p. 81

36. Qu’est-ce qu’un barbare ! p. 82

37. Jeanne d’Arc, p. 83

38. Si vous avez besoin d’argent et que vous avez une fibre d’escroc… Retour du paganisme, spiritualités au rabais, p. 83

39. Restaurer les sols, agriculture, climat, p. 92

40. La Révolution, démocratisation de l’arbitraire, p. 93

41. Josephine Baker surprise, en France, p. 94

42. Argent, p. 94

43. Calories en temps de crise, p. 96

44. Je ne veux pas avoir d’enfant, pour son bien. Mère en Inde, p. 99

45. France arasée, démographie, burkini etc., p. 100

46. Déluge, p. 115

47. “Mon corps m’appartient”, p. 115

48. Rang de la femme autrefois, p. 116

49. La Palestine sous les bombes, p. 116

50. Catholiques dans les camps allemands, p. 116

51. Zemmour, Asselineau, Philippot, Bock-Côté, d’Ornellas, sont-ils d’extrême-droite ! p. 116

52. La Résistance, cette œuvre de Droite, p. 124

53. Kundera face à saint Augustin. Qu’est-ce qu’aimer ! p. 125

54. Dieu, la science, les magistrats et l’obscurantisme, p. 131

55. Guerre de religion ou sans, p. 144

56. Radio-France en grève, p. 144

57. L’Aigle, l’Ours et le Dragon, p. 144

58. Heureusement qu’elle est un tout petit peu égoïste, p. 147

59. Si tous cherchaient à vous aimer, p. 147

60. Les Tables de la Loi, p. 148

61. Le syndrome David Saniot, p. 150

62. La pensée, chose étrange, p. 151

63. Malaise évolutif et mensonge intact de l’Occident, p. 152

64. Les Russes interviennent en Ukraine, p. 156

65. Quand une civilisation s’effondre, p. 156

66. La bien-pensance. « Qu’il retourne en Afrique ! » p. 158

67. Problème de la carrière, p. 165

68. Valeurs républicaines contre Valeurs françaises, p. 165

69. Mots, p. 166

70. Ils se le sont fait piquer, p. 166

71. Extraordinaire équilibre de la nature humaine, p. 167

72. Les Français courageux ! p. 167

73. “Les Valeurs de la République” : un fondamentalisme français… anti-français, p. 168

74. Aborigènes, p. 176

75. Perles de journalistes et autres gens de télé, p. 177

76. Manières d’autrefois, p. 186

77. Agriculture et gel, enveloppes et “prise en compte» p. 186

78. Politique étrangère et abandons français, p. 187

79. Culot des présentateurs télé, p. 188

80. Perles de gendarmes et policiers, p. 188

81. Le chat de la SNCF, p. 188

82. Iconoclasme, p. 189

83. Victoire du pot de terre contre le pot de fer ! p. 189

84. Hiroshima et Nagasaki, p. 194

85. Faire le bien dans la société ? certes, mais…, p. 194

86. Comment liquidait-on un ennemi politique, à la fin du XXème siècle, p. 204

87. Soixante-huitards, très tard, p. 204

88. Sénèque, p. 205

89. L’un des premiers mensonges institutionnalisés, p. 206

90. Spahis. Armée indienne aux couleurs françaises, p. 208

91. Ce n’était pas bien grave, p. 211

92. Immigration et contrôle, p. 212

93. Expressions à bannir, p. 214

94. « On n’est plus au moyen-âge ! » p. 215

95. Bussy, un capitaine, p. 215

96. Mystères de l’Humanité, p. 216

97. Profitez-en, p. 216

98. Ils s’étonnent que les Français s’effondrent, p. 216

99. Jamais, p. 217

100. Autre capitaine : Suffren ! p. 217

101. Justice calamiteuse, surpopulation carcérale, prison, OQTF : mes solutions, p. 218

102. Arrogance des procureurs, p. 247

103. Pour la politique extérieure, c’est pis encore, p. 250

104. Nier le désastre. L’abstention, p. 251

105. Que faudrait-il faire pour sauver l’Occident ! p. 252

106. Se battre ! p. 252

108. Langage et décadence, p. 253

109. Matthieu Bock-Côté et De Gaulle. Aux origines du communisme. Passéisme de la République française, p. 254

110. Immigration et prisons. Aux droitistes, p. 258

111. Ministres ! p. 259

112. Télé française : sécuritarisme et vacuité, p. 260

113. Romanichels, p. 261

114. Autorité publique, p. 261

115. Un monde d’hommes, p. 262

116. Méthane, p. 263

117. Mentalité de l’élu français, p. 263

118. Roman, p. 263

119. Métaphysique des Temps, p. 266

120. Ai-je été visionnaire ? Croatie, Serbie. URSS européenne, p. 267

121. “Tout ce qui est extrême est insignifiant”, p. 268

122. Une société ségrégationniste. L’épuration socialiste depuis Mitterrand, p. 268

123. Ce n’est jamais fichu, p. 272

124. Unité de l’Eglise, p. 274

125. 1890 : rires qui se ridiculisent eux-mêmes, p. 275

126. Retraites ? Tout faux ! p. 275

127. Quatre et la forme carrée, p. 289

128. Jésus et la prison, la peur des braves gens, p. 290

129. Cinglé ! p. 295

130. Modernisme, p. 295

131. Disponible pour la révélation, ou pas, p. 296

132. Juger et comprendre, p. 297

133. Humains “connectés» condamnés, p. 297

134. Coût moral de la gratuité, p. 298

135. Belle formule, p. 300

136. Lumières, p. 301

137. Français de jadis, p. 303

138. Amour et mariage, p. 304

139. Quand faut-il éluder le sentiment personnel, p. 305

140. BlackRock et autres financiers, p. 305

141. Objectiver. Prostituée mieux que journaliste ! p. 306

142. Mozart ou Bach ! p. 311

143. L’animisme, archétype des croyances modernes, p. 311

144. Prison bis, p. 321

145. Margaret Mitchell, p. 322

146. Cirque intérieur, p. 323

147. Franc-Nohain, p. 323

148. Prendre un billet de train, le 24 décembre 1898, p. 323

149. Le nain, l’animisme nécessaire et la folie de l’Occident. Apocalypse, p. 324

150. Nouveauté dans l’art et dans le roman ? voire…, p. 325

151. Naissance du journalisme, p. 331

152. Déjà en 1885 : le climat déréglé, p. 331

153. 1887, la république était déjà très avancée, p. 333

154. D’Alphonse Allais, de bons textes, pour se distraire en riant, p. 333

155. Écran LCD, ancêtre. Plus de bois dès 1936 ! p. 333

156. Paul Granier de Cassagnac (1824-1904), p. 333

157. Dans un compartiment vers 1900, p. 334

158. Droite et gauche à géométrie très variable, p. 334

159. Discernement, p. 335

160. Beaucoup, p. 337

161. Efficacité, p. 337

162. Faveurs payées, p. 337

163. Etudes scolaires, p. 337

164. Caligula, p. 338

165. Musée vivant des régimes, p. 338

166. Que sera la guerre civile ! p. 339

167. Pourquoi l’intellectuel parisien est souvent collabo, p. 342

168. Incapacité à comprendre les symboles, p. 343

169. Europe politique incontournable ! p. 345

170. Illusion des jeunes amoureux, p. 345

171. Ceux qui vous rejoignent et ceux qui vous quittent, p. 345

172. Retournement, p. 346

173. Afrique, p. 347

174. Second vaccin, p. 347

175. Incrédulité du tyran : une vieille affaire, p. 348

176. Incrédules, p. 349

177. Grand nom, p. 349

178. Mensonge de l’impôt, p. 350

179. Gloire, p. 350

180. Discours soviétique, p. 350

181. La fable du dieu unique inventé par la Bible, p. 351

182. Elections, p. 354

183. Indifférence, p. 355

184. Les deux esclaves, p. 355

185. Nature et humeur, p. 355

186. Les listes, p. 356

187. Évangile du jour, selon Jean, chapitre 8, p. 356

188. Ils n’étaient point sots ni vils, p. 356

189. Néandertal, p. 357

190. Vocabulaire et phrases anciennes, p. 357

191. Langue française, belle mais source de bien des problèmes, p. 359

192. L’impérialisme, p. 361

193. Guerre de Sécession, p. 362

194. Annonce fracassante, p. 364

195. Gabegie typique, p. 364

196. Dragons, p. 364

197. Cette phrase, combien de fois l’avez-vous répétée ! p. 365

198. Administration ou civilisation, p. 366

199. Pour reconnaître l’imposture, p. 367

200. Meetoo : l’art de l’inversion gauchiste, p. 367

201. Accès des jeunes au travail, p. 369

202. Rappels à l’intention de nos amis américains, p. 369

203. Impôt, p. 370

204. Révolution et progrès scientifique, p. 372

205. On ne les changera pas, p. 373

206. La Nature, ce monstre extraordinaire, p. 374

207. Œuvre de Dieu, p. 375

208. Fausseté du journalisme, p. 375

209. Audimat, p. 384

210. Un postulat faux et un nouveau que je vous offre, p. 384

211. Pagnol déjà, p. 389

212. Citation de Henry Bordeaux, p. 389

213. A vie, p. 389

214. Secrets de Charles VII, p. 390

215. Sacres, p. 390

216. L’Occident, communiste. De la nécessité de peuples ligués, p. 391

217. Mauvais évêques automatiquement radiés, p. 397

218. Le saint des frontières, p. 397

219. Une autre nation, p. 398

220. Supériorité des députés du roi, p. 398

221. Point commun entre protestantisme et islam, p. 398

222. Notion de progrès, p. 398

223. Mick Jagger et Charles Manson eux aussi, p. 405

224. Sagesse de la pensée écolo, p. 406

225. Interrogatoires, p. 406

226. Nostalgique de l’ancien régime ! p. 409

227. Merci aux Anglais, p. 410

228. Les deux larrons, p. 410

229. Energie fossile, p. 410

230. Bigots, go ! go ! p. 410

231. Le fameux moyen-âge analphabète, p. 411

232. Mur antifasciste, p. 411

233. Citations de Mitterrand, p. 411

234. Le Natal en Afrique du Sud, p. 412

235. Nos “alliés”, la flotte française, p. 414

236. Traditions et mariage arrangé, p. 421

237. Rétablissons un peu de mal-pensance, p. 422

238. La radicalisation vient-elle de la désocialisation ? L’école, p. 423

239. Taille du cerveau, p. 423

240. Aides publiques, p. 424

241. Colifichets et gris-gris, p. 424

242. Qu’ils m’ont fait rire, avec leur Lula ! p. 425

243. Le pont de la Sierra Leone. Où va l’argent ! p. 425

244. Normands, p. 426

245. Un autre Normand, p. 426

246. Jules Verne et les modèles d’éducation, p. 426

247. Cadeaux de Noël, p. 428

248. Enfants à l’hôpital, p. 431

249. Rouleaux, p. 431

250. Mariage des prêtres, p. 431

251. Angleterre et révolution, p. 433

252. De France au Japon, p. 433

253. “Zen attitude”, p. 434

254. Croyances de croyances, suite, p. 434

255. Montagne et neige, p. 436

256. Que faut-il penser des détenus en prison ! p. 436

257. « Je ne peux pas l’aider, je suis pas psy » p. 439

258. Passéisme ! p. 440

259. Comment juger un régime ! p. 440

260. Batailles gréco-turques, esclaves européens, repentance injurieuse. Aux musulmans qui prétendent ne pas commettre de massacre, p. 441

261. Fabriquer un reportage, p. 443

262. France-info (radio et télé), p. 444

263. Un seul parti dans le Bloc de l’Ouest, p. 450

264. Racket fiscal, p. 451

265. Ecrire, p. 451

266. Quel genre de bateau est la République française ! p. 451

267. « Il faut être de son temps. » Bon sens méprisé, p. 456

268. Poursuite du chef-d’œuvre, p. 457

269. Le Louvre, p. 458

270. CGT, p. 459

271. Les BRICS ont eu un précédent, p. 461

272. Voile ou pas voile ! p. 465

273. Tout n’est pas de la faute du gouvernement, p. 470

274. Amour déçu, la plus classique affaire, p. 471

275. Je ne peux pas parler, p. 479

276. Science et raison, scientifiques auto-limités, p. 479

277. Remettre de l’humain au centre ! p. 481

278. Leçons du passé, encore, p. 482

279. Civilisation mourante et renaissante. Pourquoi il faut renverser le régime, p. 483

280. Plantes curatives, p. 490

281. Enquête en 2028, p. 490

282. Journalisme menteur, p. 492

283. Eau tiède, p. 498

284. Les cauchemars de Hugo sont un pour nous un rêve, p. 500

285. Schengen grotesque, p. 502

286. Engrais naturel, p. 502

287. Retour de l’interdit, ironie de l’Histoire, p. 502

288. Occident communiste contre Russie capitaliste, p. 503

289. Gilets jaunes, p. 504

290. Comment supportez-vous ça ! p. 506

291. Sincérité, p. 507

292. Agir et non-agir. Fêter 14-18 et le 14 juillet : signe de sénescence, p. 507

293. Pour qui sont faites les institutions ! p. 512

294. Pour une grande distribution moderne et écologique, p. 512

295. Air saturé par le mal, p. 513

296. Droit de jambage, p. 513

297. La quête, p. 514

298. Antoine de Maximy, p. 514

299. Débats à la Chambre des Lords, p. 515

300. Rajeunir le pays, vieillir les bourgs, p. 516

301. Problème écologique, p. 517

302. Grade, p. 517

303. Combien désavouent ! p. 518

304. Discussion de politicaillerie sur France-info, p. 518

305. Sécurité obligatoire, p. 518

306. Proust cherche à perdre notre temps, p. 518

307. Prison ter, p. 519

308. Quel peuple est misérable ! p. 521

309. Juges parlementaires au XVIIème siècle, ce qu’était cette canaille, p. 523

310. Action et pensée, p. 528

311. Le souper du roi, p. 529

312. Dette au Temps de Colbert, p. 531

313. Les Capétiens, famille française meurtrie, p. 532

314. Métiers à Versailles, p. 533

315. Particularité morbide d’un tableau de Drölling, peintre, p. 534

316. L’école obligatoire contre la civilisation. Ce qu’il faudra faire pour refonder l’Occident, p. 535

317. Dans Au Cœur des Ténèbres de Joseph Conrad, p. 540

318. Sous-marin, p. 540

319. Je me marie en prison. Désacralisation, p. 540

320. Réchauffement, p. 541

321. Antisémitisme, p. 541

322. Nostalgie, p. 558

323. Médias démoralisateurs, p. 558

324. Images d’URSS, p. 559

325. Télévision française : conservatisme, p. 559

326. Y a-t-il une raison pour laquelle j’aurais été incarcéré, plus qu’une autre ! p. 560

327. L’État comme une vitrine, p. 561

328. Réseaux sociaux et autres, p. 562

329. Oswald Rayner, p. 562

330. Citation de Romain Gary, p. 562

331. Routes danoises et limitation de vitesse, p. 563

332. Petite société, p. 564

333. Aux deux bouts du spectre. Du combat, p. 564

334. Prison et isolement, p. 569

335. Vieillerie française : toujours soixante ans de retard, p. 570

336. Zéro, p. 572

337. Les Français et les chiffres, p. 576

338. Sécurité ouin-ouin, p. 576

339. Linge, écologie et procédures en prison, p. 577

340. Voter, une jolie imposture, p. 578

341. Europe politique, p. 579

342. Les lendemains qui chantent, p. 580

343. Le populisme, ce que détestent les fausses élites, p. 581

344. Sites sacrés, p. 582

345. Voyage (suite), p. 583

346. De la colonisation et des lâchetés françaises, p. 584

347. Architecture, p. 592

348. Prison quarte, p. 593

349. Alain Escada interviewé par BFM, p. 596

350. Les sociétés spirituellement les moins développées, p. 597

351. Retrouver la religion après des siècles, p. 597

352. Civilisations qui disparaissent. Confucianisme. Décalogue au néolithique. Intuition, p. 598

353. Les journalistes, p. 604

354. Mille problèmes, une réponse, p. 625

355. Emerveillement, p. 625

356. Femme qui s’ennuie. Féminisme. Manipulation télévisée, p. 628

357. Grandeurs méprisées de la France, p. 632

358. Corrida, avènement de l’homme-dieu, p. 633

359. Charlemagne s’imposait-il ! p. 638

360. Frontières, p. 640

361. Gallo-Romains, p. 643

362. Javert, la Justice, la police, p. 643

363. Quand le peuple est-il laissé tranquille ! p. 644

364. Pillards, p. 645

365. La Constitution, bonne, mais tout s’effondre quand même, p. 646

366. Incohérence du féminisme, p. 649

367. Pauvreté de la pensée moderne, p. 649

368. Pas une seule fois, p. 650

369. Unité contre dualité. Pour une nouvelle laïcité, p. 650

370. Maraboutage et sorcellerie, p. 668

371. Soviétisation ? Qu’est-ce à dire ! p. 668

372. Sexualité féminine, “bons” spectacles, interdits d’autrefois, p. 688

373. L’un des grands mythes de l’Histoire : la Renaissance, p. 690

374. Grands travaux, p. 693

375. Dictionnaire français : la manipulation de l’Histoire, p. 694

376. On crèvera par l’administration, p. 695

377. Le juge matheux, p. 695

378. Maurice de Hirsch, p. 696

379. Faites faire ! p. 696

380. “Un vrai gamin !» p. 696

381. Ce que réclame l’islam, p. 696

382. Ce que réclame la Corse, p. 696

383. Au nom de quoi ? La belle-mère. Fidélité, chasteté. L’orgueil, défaut premier des Français, p. 697

384. Tutoiement, p. 699

385. Périr, p. 700

386. Grandir, c’est…, p. 700

387. On a cru que Copernic et Galilée avaient raison, ils n’ont fait qu’assassiner la métaphysique, p. 701

388. En une phrase, p. 709

389. Métaphysique, principes, p. 709

390. L’intuition, p. 710

391. La République française finira par penser à envoyer ses soldats, p. 712

392. Dalaï-lama dit deux bêtises. Croyances modernes, rites, symboles, p. 713

393. La mort de la liberté, p. 721

394. Idée reçue sur l’époque féodale, p. 722

395. Deux phrases que les hommes devraient éviter, p. 722

396. Urine, p. 723

397. L’instant après lequel tous courent, p. 723

398. Ce que dit Blaise Pascal, p. 724

399. Journalistes sportifs, p. 725

400. Passion inutile, talent, p. 725

401. Inversion des pôles, p. 726

402. Résurrection française, p. 727

403. Le médicalisme, avenir des dictatures, p. 728

404. Erreur, p. 728

405. Pourquoi il est çon d’être franc-maçon, p. 729

406. Racisme de la caste, p. 730

407. Chasse, p. 730

408. La vengeance posthume des Gaulois, p. 730

409. Confirmation de boxe, p. 734

410. Il y a peu de vrais acteurs, p. 734

411. L’assassinat de César, p. 738

412. Changement des temps, p. 741

413. Irak anglais, p. 742

414. La tolérance à l’américaine, p. 743

415. L’intuition, bis, p. 744

416. Transcendance, p. 747

417. Puissance et chefs d’Etat, p. 749

418. 1944-1954 : viols américains, russes, français, p. 751

419. Vain mot, p. 752

420. Image du politique, p. 752

421. De l’art du maître, p. 753

422. L’art du scénario, p. 753

423. Sachez vous servir des formules de politesse, p. 753

424. Liste américaine, p. 755

425. Haine autorisée par FB, p. 755

426. Idée d’émission, p. 756

427. Américains furieux contre les Français, p. 756

428. Bercy profite de l’Ukraine, p. 757

429. Ségrégation antichrétienne à la télévision, p. 757

430. Retour vers les Français, p. 766

431. Faire des alliances, p. 768

432. Serrer les mains, p. 770

433. Sécuritarisme futur, p. 770

434. Subventions et crédits d’impôts, p. 771

435. Nature phénoménale, p. 771

436. Les valeurs, inversées dès le départ, p. 771

437. Heures perdues, vies perdues, p. 773

438. L’État enrichit les milliardaires, p. 774

439. Fatima d’actualité, p. 774

440. Modèles pour les filles, p. 774

441. Militaires, p. 775

442. Menu de ramadan, p. 775

443. Syndrome de la piraterie somalienne, p. 776

444. Guerre de Vendée et génocide vendéen, p. 778

445. Hugo se pose la même question que moi, p. 778

446. Civilisations intelligentes ? Quelle direction prend le vivant ! p. 779

447. Amour ou sens de l’honneur ! p. 779

448. Faut-il écrire ! p. 780

449. La peur des militants, p. 780

450. Ce que les victimes de la Justice font, étroitesse du monde judiciaire, p. 781

451. L’Avent du christianisme, p. 782

452. Super-pouvoirs, p. 782

453. Vertus théologales et vertus cardinales, p. 782

LES 4 AUTRES LIVRES A PARAITRE PROCHAINEMENT !


  • "CAVALE À PLEIN TEMPS" (texte en cours d'achèvement)
  • "UN NOUVEAU RÉGIME POUR LA FRANCE ou l’Avènement des Peuples" (texte en cours d'achèvement)
  • "Soyez serein si vous ALLEZ EN PRISON !" (texte achevé)

Ainsi qu’une nouvelle courte :

Mort d’un soldat allemand dans un chef-lieu de canton” (texte achevé)


Tous les livres de Rémy D. WIEDEMANN en accès réservé

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